Arnaud a 49 ans et travaille depuis 1 an et demi chez Charles Perroud.
Comment êtes vous arrivé chez Charles Perroud ?
J’ai appris l’existence de l’entreprise par ma société d’intérim, j’ai passé un entretien et comme je suis quelqu’un d’ouvert, je me suis dit que j’allais me lancer dans cette nouvelle activité et découvrir le monde de la joaillerie et de la bijouterie que je ne connaissais pas du tout. En effet, j’étais technicien télécom pendant 10 ans c’était donc une reconversion complète.
Quel est votre parcours chez Charles Perroud ?
Le premier service où j’ai travaillé chez Charles Perroud était le parachèvement. Ensuite, je suis passé au polissage mécanique. J’ai également travaillé un peu en fonderie. Et aujourd’hui, cela fait 6 mois que je suis à l’usinage. Ce qui est intéressant, c’est qu’on peut naviguer facilement dans l’entreprise. L’entreprise est assez ouverte en fonction des envies et des compétences de chacun.
Quelle a été votre première impression en arrivant ?
Une bonne première impression, on m’a détaillé tout ce qui se faisait dans l’entreprise, j’ai visité les différents services. J’ai tout de suite été emballé, j’ai senti que c’était une entreprise avec des possibilités. Pour moi qui ne connaissais pas ce secteur, ça a été une découverte totale.
Quel est votre rôle en tant qu’opérateur en usinage ?
En tant qu’opérateur, je prends en charge les « ordres de fabrication ». A l’aide d’une gamme de contrôle je vais ramener ces pièces à différentes côtes. Je dispose les bijoux sur un posage que je réinstalle ensuite dans la machine puis je sélectionne le programme propre à chaque référence. On ramène à la côte désirée et on effectue un contrôle.
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
Ce qui me plaît surtout, c’est le côté minutieux : manipuler les pièces avec soin.
Quelles sont les qualités selon vous pour être usineur ?
Le calme, la minutie et l’observation, autant pour les pièces que pour la machine car l’usinage se fait avec des fraises et des forets donc tout ça, il faut également les contrôler. Et bien sûr aimer le travail en autonomie et le travail bien fait.
